Le rapport dont vous êtes l’objet
- 2013
Gross, directeur d’une administration, trouve un jour un rapport écrit dans une langue incompréhensible : le pydétypède. Il découvre bientôt qu’il est le seul employé à ne pas la connaitre. Et que le rapport en question le concerne. Il n’a plus qu’une seule idée en tête : réussir à se faire traduire ce rapport dont il est l’objet.
Une satire humoristique de la bureaucratie communiste tchécoslovaque dans les années soixante.
Adaptation française de Milan Kepel
Adaptation et mise en scène Evelyne Charnay
- Le rapport dont vous êtes l’objet – Jean-Jacques Nervest, Clémence Mercier, Luc Baboulène
Les dates :
Le vendredi 22 novembre 2012 à 20h30.
La représentation sera précédée à 19h00 d'une conférence sur le théâtre de Vaclav Havel avec la participation de Danièle Monmartre, chercheuse au CNRS, et d'Amélie Charnay, docteur en Histoire. Entrée pour la conférence : 5 euros pour les auditeurs qui n'assisteront pas aux représentations. Gratuit pour les spectateurs de la pièce.
Le samedi 23 novembre 2012 à 20h30.
Le dimanche 24 novembre 2012 à 16h.
Réservation sur le site du théâtre Daniel Sorano
(Tarif : 18 €, demi-tarif : 15 €, adhérent : 12 €)
ESPACE DANIEL-SORANO
16, rue Charles Pathé
94300 VINCENNES
RER A : Vincennes
Métro Ligne 1 : Bérault, Château de Vincennes
BUS : 46, 56, 112, 114, 115, 118, 124, 210, 215, 318, 325.
Distribution :
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Note d'intention :
Les combats politiques de Vaclav Havel ont fait oublier son œuvre de dramaturge, écrite, le plus souvent, en prison. A l’occasion de sa disparition, la compagnie Altaïr souhaite rendre hommage à cet intellectuel tchèque passionné de théâtre, convaincu qu’une société peut résister à un régime totalitaire en se rassemblant, notamment autour de sa Culture. Son théâtre de l’absurde nous éclaire en nous dispensant de leçons de morale.Notre choix s’est porté sur Le rapport dont vous êtes l’objet », pièce écrite en 1965 qui nous fait nous gausser de l’absurdité de la bureaucratie communiste mais nous invite aussi à la vigilance. Nous quittons la représentation théâtrale sans solution, mais avertis.
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